Réflexions

Notes sur le Honduras

Beaucoup de montagnes n’ont que quelques rares arbres, comme si la déforestation avait été massive et qu’une timide reforestation se mettait en place.

Il y a souvent des incendies : au loin dans les montages.

Il y a des feux sur le bord des routes : on brûle des déchets dont on ne sait que faire.

Les bords de routes sont remplis de déchets.

Les gens sont très sympathiques et on sent parfois que les touristes sont plutôt inhabituels dans certaines régions.

Il y a beaucoup d’oiseaux magnifiques.

Les paysages sont splendides : montagnes, forêts, rivières, lacs.

Il y a beaucoup de pollution : lacs, rivières, forêts.

Le Honduras gagne la palme des trous dans les routes.

Il est possible de faire beaucoup d’activités (plongée, se rendre sur une île déserte, faire du bateau, etc.) pour beaucoup moins cher que dans les autres pays d’Amérique Centrale.

On voit beaucoup de magasins surveillés par un garde avec un fusil à pompe ou une mitraillette.

Le stationnement des supermarchés est toujours entouré d’une grille et un gardien en fait la surveillance avec un fusil.

Jamais nous ne nous sommes sentis en danger, même lors de notre visite de San Pedro Sulas, la ville la plus dangereuse au monde. Nous y sommes allés le matin et non le soir. Toutefois, nous avons été prudents et un incident le jour suivant notre arrivée nous a rappelé que nous devions être sur nos gardes.

Le Honduras mérite d’être plus visité par les touristes et pas seulement ses magnifiques îles des Caraïbes.

 

Ce que nous avons le plus aimé

La surprise de découvrir un pays magnifique avec des gens chaleureux.

 

Ce que nous avons le moins aimé

Les trous dans les routes.