Notes sur le Nicaragua
Les hommes rentrent du travail à vélo, la machette attachée à la ceinture du pantalon.
Il y a des ateliers de réparation en tout genre sur le bord des routes : voitures, soudure, moto, etc.
Pour acheter des fruits et légumes, c’est sur le bord des routes que l’on s’arrête.
Les camionnettes chargées de bananes plantain.
Les panneaux « No adelantar » (ne pas dépasser) qui, en fin de compte, ne veulent rien dire.
Les pick-up chargés à moitié de plantain et à moitié de travailleurs qui roulent à 50 km/heure.
Le touk-touk (appelé bixi : bicicleta-taxi) roule à 30 km/heure et n’hésite pas à dépasser dès qu’il en a l’occasion.
La bière à 1$ canadien.
Les tomates à 0,34$ CAD la livre.
Les maisons en bois et en tôle qui bordent les routes.
Me faire appeler « Mi amor » par un policier.
Les phrases en appelant à dieux sur tous les autobus.
Les autobus avec des frou-frous accrochés aux rétroviseurs.
Les camions et autobus qui dépassent dans une côte, dans un virage.
Comme dans la plupart des pays d’Amérique Centrale, la culture musicale radiophonique s’est arrêtée dans les années 1980.
Le wifi gratuit dans tous les parcs des villes même les plus perdues.
Les meilleures routes d’Amérique Centrale, sans conteste !
Les autobus qui klaxonnent sans arrêt parce que le traffic n’avance pas assez vite.